L’année 2024 a mis les freelances à l’épreuve : missions qui tardent à signer, budgets plus serrés, actions marketing qui peinent à donner des résultats.
Le marché du freelancing et de la prestation de service s’est structuré.
Et chaque année, des milliers de salariés se lancent dans le grand bain du freelancing.
Il y a 7 ans, vous pouviez avancer l’argument “alternative à une agence, moins cher et plus flexible”.
Aujourd’hui, les entreprises ont l’habitude d’acheter de la prestation.
Elles recherchent avec leurs prestas :
- Une méthodologie spécifique pour répondre à leurs besoins
- Une expertise pour résoudre des situations complexes
- Une expérience client impeccable (process)
Votre expertise, c’est-à-dire les compétences métiers que vous avez développées jusqu’à maintenant, ne représente donc qu’un tiers de l’équation. Et ça n’est plus suffisant pour faire de vous un consultant qui a le luxe de choisir ses missions tout en facturant cher.
Le freelancing est injuste par nature.
Les plus experts ne sont pas ceux qui réussissent le mieux.
Les top freelances ont compris une chose :
les compétences business ont plus de valeur encore que leur brique métier.